Maintenant, tout le monde tient lanationalité du pays dont il partient.
Quand il déménage dans un autre pays, il conserve la nationalité de son pays d'origine, sauf s'l préfière d'être naturalisé et accepte la nationalité de ce pays.
Jusqu'à l'introduction en 1804 chez nous du code civil, aussi Code Napoléon, c'était la même chose.
Mais la nationalité, ou mieux 'la civilité' a été associée à une zone beaucoup plus petite: une ville, une châtellenie ou seigneurie. On était bourgeois d'une ville ou 'laat' (fr:habitant) d'une seigneurie ou châtellenie.
Dans les châtellenies de l'Ouest: Furnes, Broekburg, Bergues et Cassel, on était keurbroeder ou keurzuster de la châtellenie.
Les notions 'bourgeois' ou 'habitant' indiquaient la région d'appartenance et la justice.
Un bourgeois de Bruges pourrait s'écrire et se laisser supprimer comme "laat" du Franc de Bruges ou dans une seigneurie et vice-versa. Connaître la 'civilité' est très important, car à sa mort un état des biens doit être enregistré à la ville, châtellenie ou la seigneurie, dont il avait la 'civilité.
Si on connaît ce dernier, on sait peut peut-être où on peut trouver un éventuel état des biens d'une personne en particulier doit être recherchée. Quand il s'agit des terres, elles sont toujours traitées et enregistrées par les échevins de la juridiction dans lesquelles elles se trouvent.
Source: Jos. De Smet: Het Brugse Vrije en zijn archief. De Vlaamse Stam, 1968, pages. 433 - 444.
Voor wie meer wil weten over poorters en levensomstandigheden kan op volgende link een schitterend werk downloaden.Prinsen en poortersonder redactie van Walter Prevenier.
Ceci est un oeuvre très intéressant sur les Bourguignons: comment ils ont vécu ici et ce qu'ils ont fait ici; une image fascinante de toutes les sections de la société de l'époque et bonne source d'information de l'arrière plan les généalogistes.
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